Ginkoe propose aux entreprises son expertise dans l’accompagnement des salariés touchés par la maladie, en particulier sous forme de coaching de rétablissement.
Qu’est-ce que le coaching de rétablissement ?
Il s’agit d’un coaching spécialisé qui s’adresse aux salariés ayant fait face à un arrêt maladie prolongé ou atteints de maladies chroniques.
Quels sont les bénéfices du coaching de rétablissement ?
A l’initiative de l’entreprise, le coaching de rétablissement a pour objectif de permettre aux salariés de retrouver une stabilité et de reprendre leur trajectoire professionnelle dans les meilleures conditions. Un appui au manager et à l’équipe est aussi proposé.
Pour l’entreprise ; le coaching de rétablissement vise à amoindrir l’impact de la pathologie sur l’activité du salarié ; il concourt à limiter l’absentéisme ou au contraire à gérer le présentéisme qui peut aussi résulter de ces situations. Il contribuent également à la prévention des rechutes qui amènent de nouvelles difficultés y compris l’invalidité
Pour l’équipe, il facilite le retour du salarié et son integration. Ils permettent de renforcer la cohésion de travail de l’équipe et donne un signal positif à tous les salariés sur l’attitude de soutien de l’entreprise .
Ginkoe propose également d’autres accompagnements individuels et collectifs pour les salariés, les manageurs et les RH.
« Quelques statistiques pour objectiver la situation actuelle et l’impact positif que le coaching de rétablissement peut avoir sur les salariés et leurs entreprises »
Maladies chroniques
14M
de malades chroniques
1 personne sur 5 en entreprise.
Maladies graves
3M
de survivants du cancer. 1 personne sur 2 guérit du cancer
120 000
infarctus du myocarde / an en France.
89%
des personnes ayant eu un infarctus survivent au-delà de un an.
Trajectoires professionnelles :
Plus les arrêts maladies sont longs, plus les personnes à leur retour auront des difficultés à assurer de nouveau leurs activités professionnelles. Parmi les personnes en emploi au moment du diagnostic du cancer, une sur cinq ne travaille pas cinq ans après.